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Rue du Valentin 23
1004 Lausanne, Vaud, Suisse 021 311 49 07 Site officiel

Horaires Ouvert: Lundi, Mardi, Mercredi, Jeudi, Vendredi, Samedi soir, Dimanche soir

Lalibela

Restaurant à Lausanne - Café, Bistro, Brasserie Prix moyen du menu CHF 46.-

35Aiment

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Marco F.15 juin 2013 | 20 : 1228 POINTS

magnifique décor et ambiance !! très bons plats et amiable service ! notamment le tartare (me souvien plus Du nom éthiopien ...), tous les ingrédients sont frais et les sauces bien épicées sans être trop fortes. saveurs superbes quantités largement suffisantes bières typiques dispo (St. George beer etc) et les appétitifs typiques....Bravo et à bientôt

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Damien T.11 mars 2013 | 20 : 111721 POINTS

Sur recommandation d' Emilie Fahrni, nous nous y sommes rendu en couple samedi soir !!!

Accueil chaleureux, nous nous installons dans la salle du bas !

Nous prenons un Tegu (boisson au...
RAS

Addition payée: 122.50 CHF (2 couverts).

Sur recommandation d' Emilie Fahrni, nous nous y sommes rendu en couple samedi soir !!!

Accueil chaleureux, nous nous installons dans la salle du bas !

Nous prenons un Tegu (boisson au miel un peu acide) en apéritif et regardons la carte !

Le restaurant appartient au même propriétaire que l'Abyssinia juste en face de la route ou j'étais déjà aller l'année passée, j'avoue avoir du mal à comprendre pourquoi ils se sont mis dans la même rue, ce qui est un peu idiot à mon sens.

Nous prenons en entrée la Salade avec Samboussa...bonne salade, sauce étrange je n'arrive pas à dire ce qu'elle contenait et les samboussas (un à la viande de boeuf et l'autre lentilles si je ne m'abuse) étaient bons, difficile à dire si faits maison ou non n'étant pas un spécialiste de ce genre de cuisine !

Plat principal Mme: Kifto (tartare éthiopien)...assaissonné au piment et autant dire que ca vous décolle les poils du...je vous laisse le libre choix pour combler la phrase entre plusieurs expressions :-). Elle a eu du mal à finir c'était trop fort pour elle, heureusement qu'elle à pu manger dans ma galette enfin dans mon assiette quoi.

Plat de moi: Yozome Weti Beyeayinetu à volonté....plat végétarien pour changer un peu de l'habituelle pièce de viande...quoique j'aie tout de même manger du tartare... vraiment très bon. Il contenait des lentilles au paprika, épinards épicés, purée de pois jaunes, mélange de pois jaunes et autres légumes... ainsi que des morceau de pommes de terre vapeur ça et là, quelques haricots, feuilles de salade, tranches de tomates...

Le tout accompagné de bière éthopienne (tiens ils font de la bière !!) Castel !

Vous remarquerez que le plat est à volonté...je n'ai même pas terminé le mien, autant dire que les portions sont copieuses (étrange pour un restaurant éthiopien, sans mauvais jeux de mots) et je pense que les deuxièmes services sont rares.

Le fait de manger sur des tabourets et tables basses joue probablement aussi un rôle, il est vrai que ce n'est pas très agréable d'être assis de la sorte mais bon, on se fait aux règles de la maison et on se fond dans l'ambiance !

Ne cherchez pas non plus les couvertes... il n'y en à pas... sauf si vous les demandez... on mange tout avec les galettes éthopiennes (mélange de farine et d'eau) que l'on appelle l'Injera (j'en ai déjà manger chez des connaissances éthopiennes). Bourratif également ;-)

Nous avons reçu un dessert offert par la maison: une petite salade de mangue/papaye avec une boule de glace à la fraise. Appréciable geste. J'ai accompagné le tout d'un café éthopien; café, sucre de canne et de l'encens !!

Restaurant tout à fait intéressant et qui permet de changer des menus traditionnels, à faire au moins une fois.

RAS

Cuisine: Très bonne

Tranquillité: Conversations normales

Espacement des tables: Grand espace

Rapidité: Rapide

Vue: Inexistante

Eric M.2 mars 2013 | 10 : 484065 POINTS

Repas du 27 février 2013 à 19 heures, 2 personnes.

1re visite et première fois que je mange de la cuisine éthiopienne.

En apéritif deux Tegi-Masirabia qui se compose de miel doux et d’alcool fermenté, sait bon, ça me fait penser au sirop de sureaux.

Nous commandons deux menus dégustations à 38.00 frs qui se composaient de Samboussa Mégibia ...

lili p.4 Mai 2012 | 12 : 3310038 POINTS

Mouais, alors comment décrire cette expérience?? Bof bof, voilà qui dit tout!!!

Arrivés à 19h30 hier soir au Lalibela, la première impression est déjà très négative pour moi. En effet, à peine le seuil franchi, on pénètre dans une atmosphère renfermée et étouffante. L'air est épais, humide et je déteste vraiment la manque d'aération. On me désigne une place dans la première salle du restaurant, mais je supplie le serveur de pouvoir m'installer dans la salle du bas qui est vide pour le moment et où se trouve la seule fenêtre du restaurant que l'on puisse ouvrir! Enfin un peu d'air, mais tout de même, la soirée va être pesante!!

Dans la salle du bas, des chaises basses, rembourrées et confortables entourent de petites tables basses et le décor est plus typique que celui de la salle du haut où les tables et les chaises sont de hauteur normale. La salle est bien décorée d'objets et de tissus typiques, jusqu'au plafond recouvert de paille pour nous plonger vraiment dans l'ambiance. La salle est grande, mais sombre, très sombre. De grandes toiles recouvrent les vitres, les empêchant du même coup de s'ouvrir! (on l'aura compris, ça ne me plaît pas...).
Seule notre table et une autre sont occupées ce jeudi soir dans la salle du bas et on se sent un peu seul! Au moins le service sera rapide! On nous apporte les cartes et là, le fils du patron ou d'une des serveuses qui doit avoir 3 ou 4 ans vient tourner autour de notre table. Très mignon au premier abord, il nous tiens des discours plus ou moins compréhensibles et nous sommes tout attendris par cette animation bienvenue. Seulement les choses se gâtent quand il se met à essayer de trouer mes collants ou pire qu'il s'empare de mon appareil photo pour le lacher par terre. Personne n'est là pour lui dire d'arrêter et j'ai beau essayer de ranger mon appareil dans mon sac à main et de lui dire d'aller jouer ailleurs; voilà qu'il revient à la charge, qu'il m'enjambe carrément et se met à fouiller tout seul dans mon sac pour mieux reprendre mon appareil photo et le laisser tomber sur la table basse. Trop, c'est trop, j'aime bien rencontrer les enfants du patron et jouer un peu, mais il y a des limites tout de même! Heureusement, le serveur revient à ce moment et réprimande enfin le garçon!

Après cette petite aventure, nous décidons de ne prendre qu'un plat chacun (le menu dégustation ne nous tentait pas trop) et une eau gazeuse par personne (en effet, les boissons typique ont l'air sympa, mais 8.- le verre, c'est cher quand on risque de ne pas aimer).
Les plats arrivent vite et alors là, il faudra m'excuser, mais je ne maîtrise pas le jargon éthiopien pour décrire cela correctement. A la suisse, ça donne:
Nos plats sont disposés sur d'énormes galettes spongieuses étalées sur un unique plateau où nous devons piocher à tour de rôle à mains nues. J'ai adoré ce concept de manger avec les mains et même s'il est vrai que l'odeur s'imprègne un peu sous les ongles, le savon de leur salle de bain sent très bon et fait bien disparaître les traces!

Mon ami avait commandé un Yebegi Alicha (Tendres morceaux d’agneau revenus dans une sauce au curry mélangés avec des oignons et des épices) qui arrive sur un petit réchaud et que l'on transfère au fur et à mesure sur le plateau de dégustation. Très grande quantité même pour un gros mangeur, pour 23.- c'est vraiment très correct! Le plat est bon, aux saveurs subtiles et raffinées, mais je m'attendais à tout autre chose et surtout a beaucoup plus de piquant. C'est très bon, mais très doux et pas surprenant comme saveur. Par contre la viande est très tendre et c'est agréable.

Pour ma part, j'ai opté pour le si fameux tartare éthiopien (Kitfo: Steak tartare éthiopien finement haché et assaisonné avec du piment, du beurre aux herbes et du poivre) qui m'a malheureusement beaucoup déçue. La quantité est là aussi plus que généreuse et pour 25.- on est content. Mais pour le goût, et bien je le cherche encore. La saveur est très, très subtile, en fait beaucoup trop! On ne sent que le côté gras du beurre qui est trop présent pour moi, le tartare est vraiment tout luisant et glisse dans la bouche, mais sinon, presque pas de goût! J'y ai bien ajouté du piment servi à part, mais lui non plus ne pique pas et ne relève pas vraiment la chose! Pour ce qui est de la viande, elle est super hachée, presque mixée; ce doit être comme ça là-bas, mais je préférerais plus de morceaux!

Sinon les garnitures sont très bonnes, mais pas en très grande quantités: épinards épicés (et là il y a du goût!!), choux aux carottes épicées et salade verte et tomates. Sans oublier les galettes qui servent de services: spongieuses, acidulées, c'est bizarre, mais c'est pas mal! Par contre, au bout de 2 galettes, on mange sans, car c'est bourratif!

Bref, impression un peu décevante, mais peut-être n'ai-je pas l'esprit assez ouvert. Je m'attendais vraiment à plus de découverte, à des explosions de saveurs, mais ce ne fût pas le cas! Je m'attendais aussi à un service très chaleureux avec des conseils et une convivialité presque familiale, mais alors ce n'est vraiment pas ça non plus. Le service est sympa et poli, mais distant et sans attention particulière, ni sourire.

Manuel M.16 avril 2012 | 23 : 3042848 POINTS

Addition payée: 70.20 CHF (2 couverts).

Agréable soirée amicale, ce mardi 10 avril 2012.

Armé de ma Clé Lausannoise, je me suis rendu au dernier né de la scène Lausannoise en matière de cuisine éthiopienne. Un dernier né qui n'est pas vraiment un nouveau né, comme nous allons le voir ;

Que ce soit à pied, en transports publics ou en voiture, il est difficile de faire plus accessible que cela, entre convergence de lignes de bus au centre ville, un arrêt juste en face (des ligne 1 et 2, arrêt « Valentin ») et deux parkings à moins de 5 minutes à pieds pour les automobilistes, c'est excellent. Ce n'est certes pas un quartier de prime abord très heureux que celui du Valentin, un peu zone de périphérie de centre-ville, un peu gris, un peu sombre, un peu de passage, mais qui néanmoins reste très agréable et très « ethnique ».

On pénètre dans un établissement qui fleur bon le neuf : premier étage clair, cherchant à donner une ambiance paillote, rideaux en bambou entrecoupés de poteaux en bois aux murs, toit épais de paille en guise de plafond, c'est plutôt bien réalisé quoique ça jure un peu avec les lumières crues et le sol blanc carrelé, parsemé de petites tables carrées, nappes de tissu tressé épais protégé d'une vitre, toutes garnies du même « panier-tressé » traditionnel faisant office de sous-plat et de serviettes en papier ; chaises simples mais confortables en bois. Au fond de la salle, un bar au coin et un matériel de service de buffet. Sur son côté, une volée d'escalier descend d'un étage pour mener à une salle de plan carré, plus intimes, tables basses et tabourets, certains sur une estrade verte au fond de la salle, des murs peints en vert, lumières plus tamisées et ambiance presque un peu « lounge ». Sur le côté, un bar et une table de mixage.

Le serveur, après discussion, m'explique que l'établissement appartient au même propriétaire que l'Abyssinia : celui-ci désirait proposer à Lalibela une ambiance plus intime et plus raffinée que dans son autre restaurant et également offrir certaines nouveautés, telles animations musicales et de danse certains soirs, un côté bar de nuit, offres événementielles (anniversaires, enterrement de vie de garçon) et, les midis, un buffet.
Coté carte en revanche, on est exactement dans la même proposition qu'à l'Abyssinia, avec néanmoins un chef différent derrière les préparations.

Bref, passons donc à nos consommations de la soirée :

Après un thé aux épices pour mon ami, et un apéritif maison « Masirabia » pour moi, servi dans un bol de bois surélevé par un cylindre de tissu tressé, un cocktail de divers jus de fruit (mangue, goyave et gingembre) bon mais m'aurait été plus agréable plus frais, nous avons tous deux plus la « Salade avec Samboussas » : au centre de l'assiette, une jolie salade fraîche, pommée et feuille de chêne, garnie de tranches de tomate et de dés de betterave, joliment assaisonnée d'une vinaigrette fraîche, bien citronnée et agréable. Sur les côtés, deux samboussas bien dodus à la viande de boeuf : Les deux pièces sont probablement les meilleures goûtées jusqu'alors, fine pâte croquante, pas trop imbibée d'huile, autour et une quantité plus que généreuse de farce encore juteuse et riche en arômes. Dans une des pièces, une farce plus aromatique, aux épices douces, tandis que l'autre sera plus pimentés, agréable différence.

En plat, j'ai changé un peu de l'habituel menu dégustation (qui ne m'aurait pas déplu mais mon ami n'en voulait pas autrement, donc il m'a fallu choisir à la carte).

D'abord, on nous apporte une grande assiette métallique sur laquelle reposent deux injéra, des galettes de tef, sur lesquelles reposent les accompagnements de notre repas, à savoir une salade très semblable à celle servie en entrée, une salade de haricots aux herbes et oignons excellente, agrémentée de quelques tomates, une salade de chou blanc très appréciée, bien épicée, principalement au cumin et curcuma, augmentée de quelques lamelles de carotte et enfin, une portion d'épinards aux épices, oignons, herbes et un bel arôme de poivres.
Notons les injéras, également servies à volonté dans un panier à part car servant autant d'accompagnement que de plat de service et de couverts, sont légères, bien aérée, une note acidulée présente, mais relativement équilibrées (très semblables à celles dont j'ai souvenir à l'Abyssinia).

Pour ma part, j'ai pris le « Key-Wat / Zigne ». Présenté dans sa petite casserole en terre cuite, sur réchaud traditionnel, en portion plutôt généreuse, il s'agissait de boeuf émincé extra-tendre, mijoté longuement dans une sauce riche en arômes à base principalement de paprika riche en saveur, et d'épices telles le cumin, gingembre, curcuma et sans doute bien d'autres pour former une explosion aromatique une fois en bouche.

Mon ami a choisi le célèbre tartare éthiopien (« Kifto »). Présenté dans une petite coupelle de terre cuite semblable à une mini-tajine, renversé sur la galette et goûté, la préparation s'avère savoureuse, finement haché, quasi-mixé, la viande est de bonne qualité et on sent bien son goût, derrière l'excellent assaisonnement relevé au piment aromatique, poivre et herbes. J'ai l'habitude qu'il soit servi avec une sorte de beurre mousseux et m'étonne qu'il ne fut, alors, pas présent.

Sur demande, on nous apporte un petit porte-soucoupes qui contiennent deux sortes de piment, l'un sous forme de pâte (assaisonné de diverses épices et apparemment à la tomate également) et un autre en poudre, plus relevé (mais rien de bien brutal), salé et épicé.

Nous sommes restés à l'eau gazeuse pour accompagner notre repas.

Pour finir sur une note douce, nous consultons la carte des desserts qui propose, sous des appellations exotiques, nos habituelles coupes de glaces (de la coupe colonel au banana split, grosso-modo une carte Frisco traduite) et sinon, de production maison, des baklavas.
Mon ami a pris deux boules citron, toutes simples, pour ma part, ce fut le baklava : deux pièces, plutôt bonnes et bien réalisées, pas trop coulantes, annoncée accompagnée de glace pistache, je suppose qu'il n'y en avait plus car en ai eu une vanille, une mouchette de crème fouettée et une coulée de chocolat fondu. Dessert classique mais toujours apprécié, présenté dans une assiette jolie en bois.
Avec cela, nous avons pris un café traditionnel, agréable, plus amer que notre café habituel, servi dans un joli récipient en vois noir, accompagné d'un peu d'encens.

Côté service, c'est particulier : il est agréable, discret tout en étant attentif au bien-être ; côté professionnalisme, il n'y a rien à dire. Il souffre toutefois, par-ci par-là, de longues attentes car il n'y avait manifestement qu'un seul serveur pour s'occuper des deux étages ce soir-là, donc naturellement, il est difficile de garder un oeil partout. Mais pour ce soir, où il n'y avait que peu de monde, ça a été sans autre problème, du moins à mon ressenti.

C'était une jolie expérience, j'y retournerai de préférence lors d'une soirée animée, l'ambiance n'ayant pas été, ce soir-là, au beau fixe. L'enseigne n'a toutefois rien à jalouser à son grand frère Abyssinia, et tout à fait agréable et recommandable, avec une ambiance plus raffinée mais une addition toujours aussi douce, plus encore si l'on bénéficie d'une Clé Lausannoise.

Avec la Clé d'ailleurs, nous en avons eu pour 70.20 CHF, tandis que sans elle, l'addition se serait montée à la modeste somme de 107.70 CHF.